Gabriel Maelrhys 181117063942148854
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 Gabriel Maelrhys

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Gabriel Maelrhys

Gabriel Maelrhys


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Date d'inscription : 18/11/2018

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MessageSujet: Gabriel Maelrhys   Gabriel Maelrhys EmptyDim 18 Nov - 17:20

Maelrhys
Gabriel
Âge : 23 ans
Nationalité / origines : Orphelin salope
Profession / Maison : Prof Universitaire
Baguette : bois de chêne, 26,5 cm, crin de licorne, extrêmement rigide
Sang : Né-Moldu

▬ ft. Nathaniel Hawthorne de BSD

Carnation : Pâle
Taille : 1m80
Corpulence : Fine
Cheveux : Gris, mi-longs, fins
Yeux : améthystes
Signe(s) distinctif(s) : Son habillement, ses lunettes.

Gabriel est calme. Très calme. Peut-être un peu trop. Mais quand il n’en voit pas l’intérêt, et bien il ne vient pas spécialement parler. Ce qui est assez logique en fait. Même très logique. Après tout. Il ne veut pas déranger tout le monde. Il  sait très ben que ce sera mal venu et il  est plutôt bien élevé. Même très. Peut-être trop, jusqu’à en être guindé et ne pas oser beaucoup de choses dont ne pas oser prononcer une seule insulte. Ca ne se fait pas. Du tout. Comme beaucoup d’autres choses.

On pourrait le traiter de rabat joie. Effectivement, ce serait le cas. Bien le cas, mais il ne faut abuser de strictement rien. Si ce n’est de la foi. Il en a plein. Enormément même et est prêt à la partager aussi. Après tout, autant ne pas la garder pour soi. Il faut bien redonner espoir au monde. Redonner espoir tout court. Il n’hésite pas à donner son temps aux autres s’ils le demandent. Il a appris à aider son prochain depuis bien longtemps.

Il aime savoir, il s’intéresse à tout, absolument à tout.  Avec une certaine froideur qui lui est particulière. Mais ce n’est pas vraiment pas de sa faute, c’est sa manière de se protéger un minimum. Aider son prochain et l’aimer est une chose, mais il ne va pas non plus se rapprocher de tout le monde pour se faire avoir par n’importe qui. Et faire n’importe qui. Il tient à la vie. Et à sa logique aussi. Il sait qu’il est un minimum important et que tant qu’il n’aura pas accompli sa mission, il ferait mieux de ne pas mourir ni même rien du tout.
Ton père s’est cassé , ta mère t’as abandonné.

T’aurais pu résumer ça comme ça, ouais. Prendre la vie du mauvais pied, du mauvais côté. Et pourtant. Pourtant tu ne l’as pas fait. Au contraire. Tu l’aimes cette vie, merde. Et tu ne l’insulterais certainement pas. Tu n’oserais pas. Ca ne se fait pas non plus. Ton père, il devait avoir ses raisons pour partir. Et ta mère, tu la connais, la raison, elle est morte. Morte en te donnant naissance. Ce qui te valu d’aller droit à un orphelinat. Une sorte d’orphelinat. Le village n’était pas spécialement grand, mais connu pour son église. Sa grande église. Et pour la bonté de ceux qui y habitaient. Recueilli par le Père, élevé par quelques Soeurs. Une éducation stricte, mais pas difficile ni injuste. Jamais tu ne te plaignis, et jamais tu ne te plaindra d’ailleurs. Juste de la reconnaissance. De s’être occupé de toi durant toutes ces années, alors que tu n’étais qu’une bouche supplémentaire à nourrir, au temps de l’après-guerre, alors que le pays essayait de se reconstruire.

Ils t’ont tout donné. Ils t’ont donné un nom, Gabriel. Ils t’ont donné un toit, leur église. Ils t’ont donné de l’amour alors que tu n’en avais pas. Vivre au rythme des cloches et des messes ne t’avais jamais dérangé. Dès le premier jour, tu avais au contraire aimé et commencé à adorer cet Homme qu’ils appelaient Dieu. Lui aussi, Il t’avait tout donné. Tu le rendais comme tu le pouvais. Tu voulais rendre service, tout le temps. Tu le faisais dès que tu le pouvais, que ce soit à la cuisine, comme au jardin ou aux services de messe. Tu n’avais pas tardé à te proposer en tant qu’enfant de choeur. Tu adorais ça même. La Foi t’a ouvert les yeux sur beaucoup de choses, Elle continue d’ailleurs. Et chaque jour tu l’en remercie. Tu sais que tu n’es pas à la hauteur, et que tu ne le seras jamais, mais ce n’est pas grave.

Mais un jour, Dieu te testa.

Par une simple lettre. Rien d’anormal, si ce n’était la personne qui l’apportait. Quelqu’un qui vous était totalement inconnu. Habillé de manière assez particulière, tu n’avais pas compris. Personne n’avait visiblement compris, et pas un instant tes mains n’avaient lâché la robe de ton Père. Tu étais resté en retrait, tu ne voyais pas ce que l’on pouvait te vouloir. On te parlait d’une école. D’une école de.

Magie.

Tu ne voulais pas, c’était insensé, c’était contre tout ce que l’on avait pu t’apprendre, contre toutes les Ecritures. La Magie n’existait pas, et si c’était le cas elle devait être bannie, détruite et non enseignée. Mais tu ne pouvais rien faire, elle faisait partie de toi visiblement, et ce depuis que tu étais né. Tu n’y avais pas fait attention, mais quelques situations en effet avaient été très bizarres. Et tout ça, parce que tu étais un sorcier. Tu avais cru à un cauchemar. C’était vraiment ridicule. Mais tout continuait. Il fallait t’amener dans un endroit spécial pour faire des courses et acheter entre autre une baguette. Celle qui t’aiderait à maîtriser tes pouvoirs. Ce que tu ne voulais pas non plus. Tu avais directement demandé s’il n’y avait pas moyen de l’abolir plutôt. Entièrement. Visiblement pas. Qui plus est, seul cette nouvelle personne t’avait accompagné. Ce que tu comprenais assez bien, inutile que tout le monde y fasse face.

Même si tu devais bien avouer que tu étais fasciné. Ce qui ne dura que très peur de temps. La réalité te rattrapa. Tu n’avais plus le droit d’assister aux messes ni même de les aider. On te tenais à part, comme si tu étais un pestiféré. Ce qu’au fond, tu étais peut-être. Tu l’avais cru un bon bout de temps d’ailleurs. Puis toute rendis compte que c’était un obstacle comme un autre. Pas insurmontable. Que tu n’en ressortirais que plus fort. Tu n’avais pas non plus trop le choix. Il fallait bien que tu y ailles, même si les au revoir étaient plus froids que ce que tu aurais pu espérer. Tu avais pas mal pris sur toi au fond, mais tu savais que de toute manière, Il ne te lâcherait pas. S’Il t’avait envoyé là-bas ce n’était pas par hasard, tu devais y faire quelque chose, et tu trouverais bien quoi en temps voulu.

Un chapeau t’avait parlé. Il était bizarre, très bizarre. Apparemment, il lisait dans les pensées pour pouvoir te répartir dans ce qui te servirais de maison. Tu étais allé chez les Bleu et Bronze. Le Savoir, l’Intelligence, la Curiosité, l’Apprentissage. Des domaines qui te parlaient. D’autres moins comme la créativité. Ce n’est pas pour autant que tu as déprécié. Encore aujourd’hui tu la portes dans ton coeur, cette maison. Ta deuxième famille, que tu as eu du mal pourtant à adopter. Si d’un côté on t’écartais parce que tu avais ces gènes de Sorcier, de l’autre, on t’écartais parce que tu étais ce qu’ils appelaient un Né-Moldu. Ironie du sort? Tu n’en savais rien, tu ne voulais pas savoir non plus.

Les débuts ont été très difficile, mais tu tenais comme tu le pouvais, et bien vite tu te rendis compte que la maison qu’on t’avait assignée, bien que très hautaine au premier abord, se serrait les coudes, très fortement. Et qu’en général, les gens étaient extrêmement ouverts. Uniquement entre eux, tu le remarqua un peu tard, que toi aussi tu étais prêt à aider ton prochain, seulement lorsqu’il s’agissait d’un Serdaigle, dédaignant généralement les autres maisons. Tu regrettes, c’est sûr, mais l’erreur est Humaine et tu ne pourras rien changer.

Chaque été, tu faisais en sorte de ne rien mentionner, tu essayais de reprendre leur vie, tout en continuant malgré tout d’être éloigné des processions et autres. Mais tu gardais la Foi, et une idée avait germée dans ton esprit. Tu voulais à ton tour devenir prêtre et durant tout un temps, tu en étais convaincu. Sauf que rentrer dans les ordres t’était impossible. Ah bah oui. Un sorcier. Et puis quoi encore.

Tu n’avais pas lâché ton rêve, ni même tes envies. Tu étais persuadé de pouvoir faire quelque chose. De te battre pour lier Religion et sorcellerie. Que les gens s’ouvrent, comprennent, acceptent. Tu sais que tes efforts payeront, que ton chemin est dicté et guidé par la Lumière. Que tu ne peux compter qu’en Lui. Tu n’es pas là pour rien non. Ta mission est bel et bien d’essayer de leur ouvrir les yeux, de les mener dans un Nouveau Monde.

Tes études ce sont bien passées, tu as décidé même de te lancer dans tes études d’enseignant. Tu t’es battu pour décrocher une branche encore peu connue et inexistante jusqu’ici dans cette université. Un tout petit cours, une petite classe. Ca ne te dérange pas, tu cherches les plus motivés. Tu l’es en tout cas et rien ne pourra t’arrêter.
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